La santé est un sujet qui nous passionne depuis longtemps chez premaccess et qui, aujourd’hui plus que jamais prend tout son sens. L’humanité dispose aujourd’hui des outils les plus puissants pour répondre aux problématiques qui se posent à nous et pourtant nous sommes vulnérables.
Alors pour changer un peu d’angle, nous avons concocté une petite liste des innovations en santé que l’on suit de près, car pour nous elles sont représentatives du monde de demain, de celui que l’on veut construire avec vous. Et quand la technologie est un vecteur de sens, ca nous plait !
Certaines solutions semblent parfois sorties d’un film de science-fiction et pourtant. Il s’agit bel et bien de solutions concrètes que l’on peut dès aujourd’hui utiliser ou en cours de développement.
Si vous voulez un peu plus d’informations sur le fond quand on parle d’Intelligence Artificielle ou de Machine Learning, vous pouvez vous référez à notre article AI et ML la vision de premaccess des services proposés par AWS.
Reste aujourd’hui les questions suivantes que nous souhaiterions résoudre avec vous :
- Comment généraliser ces procédés ?
- Les faire changer d’échelle et rendre ces technologies accessibles aux plus grands nombres ?
Vous avez d’autres exemples ? Partagez les avec nous !
Intelligence artificielle et santé : notre table des matières
- Des nouvelles molécules chimiques pour la recherche médicamenteuse
- Dépistage des maladies du cœur : mesurer instantanément et avec précision le flux sanguin
- Prédire la probabilité d’événements d’un choc hémorragique ou d’un traumatisme crânien
- Prédire la progression des maladies neurodégénératives pour mieux prévoir l’évolution des maladies comme la maladie d’Alzheimer
- Améliorer l’efficacité de l’imagerie médicale et optimiser les flux de patients
- Améliorer la qualité des dossiers médicaux en permettant aux professionnels de santé de dicter directement dans le cloud
- Améliorer la confiance, la sécurité et l’auditabilité des données médicales
- Connecter notre cerveau à une machine
- Se faire opérer sans présence d’un médecin
- Détecter le cancer du poumon
- Détecter les attaques cardiaques au son de la voix
- Collecter plus d’informations par le biais d’un chatbot
- Prélever du sang avec une très grande précision
Des nouvelles molécules chimiques pour la recherche médicamenteuse
@Iktos utilise un #algorithme pour imaginer de nouvelles molécules chimiques efficaces dans le cadre de la recherche médicamenteuse. Sa technologie explore #virtuellement l’univers quasi infini de la chimie pour imaginer des nouvelles molécules de #synthèse et prédire leur efficacité.
Dépistage des maladies du cœur : mesurer instantanément et avec précision le flux sanguin
En comparant les résultats générés par l’#AI avec les dossiers de santé de chaque patient, l’équipe a constaté que les patients dont le flux sanguin était réduit étaient plus à risque de décéder des suites d’une crise cardiaque, d’un #AVC et d’une insuffisance cardiaque.
L’outil s’est révélé pour la première fois capable de prédire quels patients pourraient mourir ou subir des événements indésirables majeurs au niveau cardiovasculaire, mieux qu’un médecin ne pourrait le faire seul avec des approches traditionnelles.
Prédire la probabilité d’événements d’un choc hémorragique ou d’un traumatisme crânien
L’objectif est de développer des modèles de prédiction et d’élaborer, à terme, une plateforme de services.
Le projet va s’appuyer sur les ressources du registre #Traumabase, nourri par un réseau d’une centaine de médecins urgentistes et anesthésistes-réanimateurs dans toute la France.
Et qui regroupe les données d’hospitalisations et de rémissions de 20 000 admissions pour traumatisme grave en France.
À terme, l’outil #développé et qui utilise l’intelligence artificielle permettra de prédire la probabilité d’événements d’un choc hémorragique ou encore d’un traumatisme crânien, mais aussi d’ajuster la stratégie de soins.
Prédire la progression des maladies neurodégénératives pour mieux prévoir l’évolution des maladies comme la maladie d’Alzheimer
L’#algorithme a été en mesure de détecter les différentes expressions des gènes de ces patients sur des dizaines d’années avec l’analyse des échantillons de sang et de tissus cérébraux post-mortem de 1 969 patients et avec l’aide d’un algorithme d’AI et des techniques de #deeplearning.
Améliorer l’efficacité de l’imagerie médicale et optimiser les flux de patients
Avec comme objectif de raccourcir la durée des examens et à optimiser les flux de patients, tout en assurant une qualité homogène des soins et permet de gérer et d’assurer la maintenance à distance des parcs de scanner, d’IRM ou autres…
Encore un beau progrès #Healhtech
Améliorer la qualité des dossiers médicaux en permettant aux professionnels de santé de dicter directement dans le cloud
Avec Dragon Medical One, les médecins, les infirmières peuvent désormais documenter les dossiers des patients en mobilité, depuis leur cabinet, à domicile à l’hôpital avec un taux de #disponibilité garanti de 99,5 %.
Améliorer la confiance, la sécurité et l’auditabilité des données médicales
La technologie blockchain répondrait aux problématiques de confiance, de sécurité et d’auditabilité de ces données, complétant ainsi les offres d’#IA et d’#IoT basées sur ces mêmes données.
Acumen indiquait dans une étude que le marché mondial de la blockchain dans le secteur de la santé devrait croître de 48,1% d’ici 2026 et atteindre plus de 1,7 milliard de dollars.
https://cryptonaute.fr/blockchain-remede-ideal-donnees-de-sante/
Connecter notre cerveau à une machine
La réponse est oui, après @Neuralink en Juillet sur les rats, Elon Musk envisage les premiers essais humains de son interface #transhumaniste à partir de la fin 2020.
Grâce à un faisceau de « cordons cérébraux » reliés à nos neurones, nous augmenterions nos capacités intellectuelles et serions même capables de contrôler l’#IA afin qu’elle ne finisse pas par prendre le dessus !
Une recherche impressionnante !
Se faire opérer sans présence d’un médecin
C’est tout fait possible technologiquement parlant. Vous êtes nombreux à comprendre et se dire que la technologie, l’ #intelligenceartificielle ont pu être une grande opportunité de progrès pour leur santé.
Le chemin risque d’être long et compliqué pour développer cette méthode car en France, 78% des patients interrogés n’accepterait pas des diagnostics ou actes de soins entièrement automatisés, sans contrôle humain.
Détecter le cancer du poumon
Le cancer du poumon est le cancer qui entraîne le plus de mortalité dans le monde. Chaque année, 1,7 million de personnes en décèdent selon les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Une fois détecté, le pronostic vital est souvent engagé, d’où l’importance de le dépister le plus tôt possible. Pour gagner en précision et en rapidité, l’intelligence artificielle est de plus en plus utilisée dans le domaine de la radiologie. Google a mis au point une IA qui permet de détecter le cancer le plus tôt possible.
Détecter les attaques cardiaques au son de la voix
Révolution en vue dans les centres d’appel d’urgence !
La technologie de l’#AI fonctionne en arrière-plan des appels d’urgence entrants et capte les mots clés, la langue et les schémas sonores de l’appelant, susceptibles d’indiquer que le patient est en train de faire une attaque cardiaque. Et si l’AI la détecte, une ambulance prioritaire est envoyée.
L’État de Victoria en Australie a annoncé qu’il allait injecter 800.000 euros pour poursuivre le projet.
Bel investissement du gouvernement Australien !
https://www.zdnet.com/article/victoria-to-use-ai-to-detect-heart-attacks-on-emergency-calls/
Collecter plus d’informations par le biais d’un chatbot
Le but de la mise en place de Jeanne (Oui le #chatbot s’appelle Jeanne) est d’obtenir le plus d’informations en amont pour que le rendez-vous avec le spécialiste soit le plus efficace dès qu’il a lieu.
Grâce à cela, nous pourrons utiliser au mieux les ressources médicales mais aussi améliorer la personnalisation de l’expérience.
Prélever du sang avec une très grande précision
Des chercheurs américains ont conçu un #prototype de robot capable de trouver et percer une veine de manière précise pour éviter ces inconvénients.
Avec un taux de réussite global de 87% pour les 31 participants dont le sang a été prélevé. Et, pour les 25 personnes dont les veines étaient faciles d’accès, le taux est monté à 97%. A titre de comparaison, les professionnels de santé ont un taux de réussite de 73% chez les patients sans veines visibles et 60% pour les personnes sans veines palpables.